The King of carnivale 2016, crane d’antilope gravé, crane de renard roux, plumes
Tous les ans tu brûles ... oh roi du carnaval, tel un bouc émissaire tu nous sers d'excuse à notre dépravation. Tu changes tous les ans, tu meurs comme un Phoenix pour mieux renaître de tes cendres. Tu est tatoué, grimé, idolâtré marqué par nos fantasmes. Tu est la projection d'une société sclérosée et malade vouée au suicide collectif, la guerre n'est qu'une des formes possibles
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